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1 fevrier 2012

Sydney, Australie (2 février 2012) – Lors d’une allocution prononcée aujourd’hui à Sydney devant la Chambre de commerce australo-canadienne (CCAC), David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (l’Office), a traité des conditions nécessaires pour tirer pleinement parti des placements à l’étranger.

Soulignant la confiance à long terme que l’Office voue à l’Australie, qu’il considère comme un bon endroit où investir, M. Denison a mentionné deux facteurs critiques qui influent sur l’efficacité des activités en pleine croissance de l’Office à l’échelle internationale : l’ouverture des pays à la propriété étrangère et le rôle des placements à long terme dans le système financier mondial. Dans ces deux domaines, l’Australie est un chef de file et un modèle à suivre par les pays à la recherche d’investisseurs.

Dans ses remarques, M. Denison a déclaré qu’« à un moment où le monde aurait surtout besoin d’accélérer le commerce international, la circulation des capitaux et l’activité économique pour stimuler la croissance, nous percevons de plus en plus de signes indiquant que le nationalisme économique et le protectionnisme continuent d’exercer une influence ». Il a exhorté les décideurs publics à instituer des processus et des critères décisionnels transparents afin que les investisseurs et les sociétés puissent mieux prévoir les décisions.

Faisant allusion à la diminution du nombre d’investisseurs à long terme, M. Denison a encouragé les décideurs publics à évaluer soigneusement les conséquences des changements de politiques et de règlements sur la disponibilité des véritables capitaux à long terme. « Nous croyons, tout compte fait, qu’une importante et solide présence des investisseurs à long terme est nécessaire pour que les marchés des capitaux fonctionnent bien et que les économies soient prospères », a-t-il ajouté. Il a souligné que les investisseurs à long terme contribuaient fortement à stabiliser les marchés en périodes de fortes tensions, à fournir des capitaux « patients » et du soutien aux sociétés pour qu’elles continuent à créer de la valeur à long terme, à contrebalancer la façon de penser et les objectifs « trimestre par trimestre », et à financer les grands projets, comme les nouvelles infrastructures énergétiques.

L’allocution de M. Denison peut être consultée dans son intégralité à l’adresse suivante : www.oirpc.ca.

Au sujet de l’Office d’investissement du RPCL’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 18 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office, dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du RPC, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Il a son siège social à Toronto et compte des bureaux à Londres et à Hong Kong. Au 30 septembre 2011, la caisse du RPC s’élevait à 152,3 milliards de dollars. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le www.oirpc.ca.

 

Renseignements :

Au CanadaLinda Sims
Directrice, Relations avec les médias
Office d’investissement du RPC
+1 (416) 868-8695
lsims@cppib.ca

En Australie
Nigel Kassulke
Associé
Cannings
+61 2 8284 9905
nkassulke@canning.net.au

{:en}{:}{:fr}1 fevrier 2012 Sydney, Australie (2 février 2012) – Lors d’une allocution prononcée aujourd’hui à Sydney devant la Chambre de commerce australo-canadienne (CCAC), David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (l’Office), a traité des conditions nécessaires pour tirer pleinement parti des placements à l’étranger. Soulignant la confiance à long terme que l’Office voue à l’Australie, qu’il considère comme un bon endroit où investir, M. Denison a mentionné deux facteurs critiques qui influent sur l’efficacité des activités en pleine croissance de l’Office à l’échelle internationale : l’ouverture des pays à la propriété étrangère et le rôle des placements à long terme dans le système financier mondial. Dans ces deux domaines, l’Australie est un chef de file et un modèle à suivre par les pays à la recherche d’investisseurs. Dans ses remarques, M. Denison a déclaré qu’« à un moment où le monde aurait surtout besoin d’accélérer le commerce international, la circulation des capitaux et l’activité économique pour stimuler la croissance, nous percevons de plus en plus de signes indiquant que le nationalisme économique et le protectionnisme continuent d’exercer une influence ». Il a exhorté les décideurs publics à instituer des processus et des critères décisionnels transparents afin que les investisseurs et les sociétés puissent mieux prévoir les décisions. Faisant allusion à la diminution du nombre d’investisseurs à long terme, M. Denison a encouragé les décideurs publics à évaluer soigneusement les conséquences des changements de politiques et de règlements sur la disponibilité des véritables capitaux à long terme. « Nous croyons, tout compte fait, qu’une importante et solide présence des investisseurs à long terme est nécessaire pour que les marchés des capitaux fonctionnent bien et que les économies soient prospères », a-t-il ajouté. Il a souligné que les investisseurs à long terme contribuaient fortement à stabiliser les marchés en périodes de fortes tensions, à fournir des capitaux « patients » et du soutien aux sociétés pour qu’elles continuent à créer de la valeur à long terme, à contrebalancer la façon de penser et les objectifs « trimestre par trimestre », et à financer les grands projets, comme les nouvelles infrastructures énergétiques. L’allocution de M. Denison peut être consultée dans son intégralité à l’adresse suivante : www.oirpc.ca. Au sujet de l’Office d’investissement du RPC
L’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 18 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office, dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du RPC, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Il a son siège social à Toronto et compte des bureaux à Londres et à Hong Kong. Au 30 septembre 2011, la caisse du RPC s’élevait à 152,3 milliards de dollars. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le www.oirpc.ca.   Renseignements : Au Canada
Linda Sims
Directrice, Relations avec les médias
Office d’investissement du RPC
+1 (416) 868-8695
lsims@cppib.ca En Australie
Nigel Kassulke
Associé
Cannings
+61 2 8284 9905
nkassulke@canning.net.au {:}

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