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10 mars 2008

AUCKLAND (Nouvelle-Zélande), le 10 mars 2008 – L’Office d’investissement du RPC (l’Office) a annoncé aujourd’hui qu’il réduira encore plus sa capacité à exercer ses droits de vote pour ses actions d’Auckland International Airport Limited (AIAL) advenant l’acceptation de son offre de prise de contrôle partielle. 

L’Office a l’intention de réduire volontairement à 24,9 % de toutes les actions avec droit de vote d’AIAL ses droits de vote pour toutes les résolutions d’actionnaires, à l’exception de celles ayant une incidence sur les droits liés aux actions de l’Office. L’Office prévoit aussi une disposition selon laquelle il ne peut assouplir ni révoquer la limite de 24,9 % que si la législation néo-zélandaise en matière d’investissements étrangers ou l’approbation d’une autorité de réglementation l’y autorise. 

Les restrictions que l’Office s’impose volontairement à l’égard de ses droits de vote renforcent le fait qu’il n’aura aucun contrôle sur AIAL. 

L’approbation relative aux investissements étrangers est exigée pour les investisseurs étrangers qui veulent acquérir 25 % ou plus des actions d’une société d’importance ou d’une société qui détient des territoires naturels. 

M. Graeme Bevans, vice-président et chef des placements en infrastructures de l’Office, affirme que ce dernier a examiné attentivement la modification aux règlements sur les investissements étrangers annoncée par le gouvernement le 3 mars 2008. 

« Nous affirmons depuis le début que nous ne cherchons pas à prendre le contrôle de l’aéroport d’Auckland et nous avons soigneusement structuré notre investissement en conséquence. Cependant, avec la modification des règlements relatifs aux investissements étrangers, nous avons pris de nouvelles initiatives pour qu’il soit absolument clair que nous ne contrôlerons pas l’aéroport, même en vertu des normes révisées. 

« Même si l’Office détiendra une participation de 40 % dans l’aéroport d’Auckland advenant l’acceptation de son offre, les restrictions supplémentaires que nous avons décidé de nous imposer afin de limiter nos droits de vote à 24,9 % des actions avec droit de vote d’AIAL feront en sorte que le contrôle de l’aéroport demeurera, de façon encore plus évidente, entre les mains de l’ensemble des actionnaires majoritairement Néo Zélandais.



« Nous avons toujours dit clairement que nous voulons être un investisseur à long terme ne détenant pas le contrôle d’AIAL. Notre participation aidera les Néo-Zélandais à conserver le contrôle de l’aéroport d’Auckland. 

« Grâce à nos ressources mondiales et à notre expertise dans le secteur de l’aéronautique ainsi qu’à notre collaboration avec l’équipe de direction de l’aéroport et avec les administrateurs du conseil d’administration de l’aéroport d’Auckland, nous renforcerons également cet élément d’actif stratégique au profit de tous les actionnaires d’AIAL et de toute la Nouvelle-Zélande. » 

Pour que les changements à sa limite de droits de vote soient entérinés, l’Office modifiera l’entente qui restreint le nombre de ses droits de vote signée en décembre 2007. Les seules résolutions d’actionnaires qui ne seront pas visées par la limite de 24,9 % sont celles ayant une incidence sur les droits liés aux actions de l’Office dans l’aéroport d’Auckland. Seul un nombre restreint de résolutions ne seront pas visées par la limite, notamment :

•    celles qui confèrent aux actions du CPPIB moins de droits de vote que les droits limités auxquels il a consenti;

•    celles qui confèrent aux actions détenues par l’Office des droits de dividendes moindres que les actions actuelles.

Joel Kranc

Directeur des communications

416 874-5163

jkranc@cppib.ca

{:en}March 10, 2008 AUCKLAND, NZ (10 March 2008): The Canada Pension Plan Investment Board (CPPIB) today announced that it will further restrict its ability to vote its shares of Auckland International Airport Limited (AIAL), if its partial takeover offer is successful. 

CPPIB intends to voluntarily reduce its voting power for all shareholder resolutions, with the exception of resolutions that affect the rights attaching to CPPIB’s shares, to 24.9% of all AIAL voting shares on issue. CPPIB will also provide that the limitation to 24.9 % can only be relaxed or revoked by CPPIB if it is permitted by a New Zealand overseas investment law or regulatory approval to vote more than 24.9% of the shares in AIAL 

The voluntary restrictions that CPPIB will put in place in relation to its voting rights reinforce the fact that CPPIB will not have control over AIAL in any respect. 

Overseas Investment approval is required for overseas investors wishing to acquire 25% or more of the shares in substantial companies or companies that have sensitive land. 

CPPIB’s Vice President - Head of Infrastructure, Graeme Bevans, said CPPIB has carefully considered the amendment to the Overseas Investment Regulations announced by the Government on 3 March 2008. 

“From the beginning, we have always said that we have not wanted control of Auckland Airport and we have been careful to structure our investment accordingly. However, now that the Overseas Investment regulations have changed, we have taken further initiatives to make absolutely clear we will not control the airport, even under the revised standards.” “Although CPPIB will have a 40% economic stake in Auckland Airport if our offer is successful, the additional restrictions we have decided to put in place around limiting our voting rights to 24.9% of all AIAL voting shares on issue will ensure that control of the airport even more visibly remains in the hands of the company’s broad shareholder base, the vast majority of whom are New Zealanders.” 

“We have always made it clear that our desire to be a long-term minority non-controlling investor in AIAL and our stake will assist New Zealanders in maintaining control of Auckland Airport.” 

“By bringing our global contacts and aeronautical expertise to the table, and by working alongside the airport’s management team and the directors on the Auckland Airport Board, we will also help to strengthen this key strategic asset for the benefit of all AIAL shareholders and New Zealand as a whole.” 

To effect these changes to the voting limitation, CPPIB will alter the Voting Limitation Deed it entered into in December 2007. The only shareholder resolutions the 24.9% limitation will not apply to are resolutions which affect the rights attaching to CPPIB’s shares in Auckland Airport. That is a very confined range of resolutions and would only include resolutions which, for example: •    give shares held by CPPIB lesser voting rights than the limited rights it has agreed to, or •    give shares held by CPPIB lesser rights to dividends than the rights that they currently have.   For further information contact: Joel Kranc Manager, Communications (416) 874-5163 jkranc@cppib.ca      {:}{:fr}10 mars 2008 AUCKLAND (Nouvelle-Zélande), le 10 mars 2008 – L’Office d’investissement du RPC (l’Office) a annoncé aujourd’hui qu’il réduira encore plus sa capacité à exercer ses droits de vote pour ses actions d’Auckland International Airport Limited (AIAL) advenant l’acceptation de son offre de prise de contrôle partielle. 

L’Office a l’intention de réduire volontairement à 24,9 % de toutes les actions avec droit de vote d’AIAL ses droits de vote pour toutes les résolutions d’actionnaires, à l’exception de celles ayant une incidence sur les droits liés aux actions de l’Office. L’Office prévoit aussi une disposition selon laquelle il ne peut assouplir ni révoquer la limite de 24,9 % que si la législation néo-zélandaise en matière d’investissements étrangers ou l’approbation d’une autorité de réglementation l’y autorise. 

Les restrictions que l’Office s’impose volontairement à l’égard de ses droits de vote renforcent le fait qu’il n’aura aucun contrôle sur AIAL. 

L’approbation relative aux investissements étrangers est exigée pour les investisseurs étrangers qui veulent acquérir 25 % ou plus des actions d’une société d’importance ou d’une société qui détient des territoires naturels. 

M. Graeme Bevans, vice-président et chef des placements en infrastructures de l’Office, affirme que ce dernier a examiné attentivement la modification aux règlements sur les investissements étrangers annoncée par le gouvernement le 3 mars 2008. 

« Nous affirmons depuis le début que nous ne cherchons pas à prendre le contrôle de l’aéroport d’Auckland et nous avons soigneusement structuré notre investissement en conséquence. Cependant, avec la modification des règlements relatifs aux investissements étrangers, nous avons pris de nouvelles initiatives pour qu’il soit absolument clair que nous ne contrôlerons pas l’aéroport, même en vertu des normes révisées. 

« Même si l’Office détiendra une participation de 40 % dans l’aéroport d’Auckland advenant l’acceptation de son offre, les restrictions supplémentaires que nous avons décidé de nous imposer afin de limiter nos droits de vote à 24,9 % des actions avec droit de vote d’AIAL feront en sorte que le contrôle de l’aéroport demeurera, de façon encore plus évidente, entre les mains de l’ensemble des actionnaires majoritairement Néo Zélandais. 

« Nous avons toujours dit clairement que nous voulons être un investisseur à long terme ne détenant pas le contrôle d’AIAL. Notre participation aidera les Néo-Zélandais à conserver le contrôle de l’aéroport d’Auckland. 

« Grâce à nos ressources mondiales et à notre expertise dans le secteur de l’aéronautique ainsi qu’à notre collaboration avec l’équipe de direction de l’aéroport et avec les administrateurs du conseil d’administration de l’aéroport d’Auckland, nous renforcerons également cet élément d’actif stratégique au profit de tous les actionnaires d’AIAL et de toute la Nouvelle-Zélande. » 

Pour que les changements à sa limite de droits de vote soient entérinés, l’Office modifiera l’entente qui restreint le nombre de ses droits de vote signée en décembre 2007. Les seules résolutions d’actionnaires qui ne seront pas visées par la limite de 24,9 % sont celles ayant une incidence sur les droits liés aux actions de l’Office dans l’aéroport d’Auckland. Seul un nombre restreint de résolutions ne seront pas visées par la limite, notamment : •    celles qui confèrent aux actions du CPPIB moins de droits de vote que les droits limités auxquels il a consenti; •    celles qui confèrent aux actions détenues par l’Office des droits de dividendes moindres que les actions actuelles. Joel Kranc Directeur des communications 416 874-5163 jkranc@cppib.ca {:}

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