skip content
Loading indicator

Language switcher

13 fevrier 2009

La caisse du RPC s’élevait à 108,9 milliards de dollars à la fin du troisième trimestre

TORONTO, ONT. (le 13 février 2009) – L’actif de la caisse du RPC s’élevait à 108,9 milliards de dollars à la fin du troisième trimestre terminé le 31 décembre 2008, contre 117,4 milliards à la fin du deuxième trimestre de l’exercice 2009. Le repli de la valeur de la caisse au cours du trimestre reflète le taux de rendement des placements de  -6,7 pour cent, soit -7,9 milliards de dollars.

Pour la période de neuf mois terminée le 31 décembre 2008, la valeur de la caisse du RPC a diminué de 13,8 milliards de dollars, déduction faite des charges d’exploitation. Cette baisse découle principalement du taux de rendement des placements de 13,7 pour cent, soit 17,4 milliards, mais elle est contrebalancée en partie par les 3,7 milliards de cotisations versées au RPC.

En raison de son horizon de placement à long terme, l’Office présente souvent ses résultats sur une période mobile de quatre ans. Pour la période de quatre ans terminée le 31 décembre 2008, la caisse du RPC a obtenu un taux de rendement annualisé de 3,5 pour cent, soit un revenu de placement de 10,2 milliards de dollars. Au cours de cette même période, la valeur totale de la caisse, en tenant compte des cotisations au RPC, a augmenté de 31,7 milliards. Depuis sa création, les revenus de placement de la caisse, déduction faite des charges d’exploitation, s’élèvent à 30,1 milliards de dollars, soit un taux de rendement annualisé de 5,1 pour cent depuis le 1er avril 1999.

« La chute marquée des marchés boursiers mondiaux, en particulier en octobre et en novembre, a eu une incidence négative sur nos résultats du trimestre, explique David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC. Cependant, en regardant au-delà de ces résultats à court terme, nous demeurons convaincus que l’horizon de placement à long terme de l’Office, ses rentrées de fonds régulières et son portefeuille hautement diversifié lui permettront d’obtenir les solides rendements requis à plus long terme pour s’acquitter de son mandat multigénérationnel. La structure de capitalisation du RPC lui permet de faire face à un ralentissement prolongé. De plus, l’actif que nous gérons aujourd’hui ne sera pas requis pour le versement des prestations de retraite avant 11 ans.

« Bien que la conjoncture entraîne des baisses de la valeur du portefeuille à court terme, elle offre également des occasions de placement à long terme, ajoute M. Denison. Comme nous n’avons pas à vendre des éléments d’actif pour verser les prestations de retraite courantes, nous sommes en bonne position pour acquérir des placements à des prix attrayants. Lorsque nous évaluons de nouveaux placements dans le marché actuel, nous nous appuyons toujours sur notre cadre d’analyse méthodique du risque et du rendement. »

Rendement et répartition de l’actif
Le repli de 8,5 milliards de dollars de la caisse au troisième trimestre est principalement dû au rendement des placements de  6,7 pour cent, soit  7,9 milliards de dollars. Le trimestre a aussi été marqué par une sortie de fonds de 0,6 milliard de dollars en lien avec le rôle de gestion des liquidités que joue l’Office auprès du RPC. Au cours du premier semestre de l’année civile, les cotisations perçues excèdent bien souvent le montant des prestations versées par le RPC. Une partie de cet argent sert par la suite au versement des prestations au second semestre de l’année.

La forte baisse des marchés boursiers est le facteur ayant eu la plus grande incidence sur le rendement au cours du trimestre. Au Canada, l’indice S&P/TSX a chuté de 23,5 pour cent, tandis qu’à l’échelle mondiale, l’indice S&P 500 perdait 22,5 pour cent, l’indice FTSE, 9,6 pour cent, et les indices DAX et Nikkei, 17,5 pour cent et 21,3 pour cent respectivement. « À la lumière des changements cycliques sur les marchés, nous avons légèrement modifié nos tactiques à court terme, explique M. Denison. Cependant, nous croyons que notre stratégie de placement et la pondération des principales catégories d’actif demeurent appropriées pour une caisse caractérisée par un horizon de placement à long terme comme celle du RPC, ajoute M. Denison. Son approche en matière de placement lui permettra d’obtenir les rendements nécessaires pour assurer la viabilité du RPC à long terme. »

Conformément à la stratégie de la caisse du RPC à long terme, au 31 décembre 2008, les actions constituaient 57,5 pour cent du portefeuille, soit 62,7 milliards de dollars. De ce montant, les actions de sociétés ouvertes représentaient 46,0 milliards de dollars, ou 42,2 pour cent, et les actions de sociétés fermées, 16,7 milliards de dollars, ou 15,3 pour cent. Les titres à revenu fixe, qui comprennent les obligations, les titres du marché monétaire et les autres titres de créance, comptaient pour 27,8 pour cent du portefeuille, soit 30,3 milliards de dollars. Les placements sensibles à l’inflation s’élevaient à 15,9 milliards de dollars, soit 14,7 pour cent, répartis comme suit : 7,1 pour cent, ou 7,7 milliards de dollars, en placements immobiliers; 4,2 pour cent, ou 4,6 milliards de dollars, en obligations indexées sur l’inflation; et 3,4 pour cent, ou 3,6 milliards de dollars, en infrastructures. Au 31 décembre, les placements de la caisse au Canada constituaient 48,7 pour cent du portefeuille, soit 53,1 milliards de dollars, tandis que les placements étrangers représentaient 51,3 pour cent, soit 55,8 milliards.

Viabilité à long terme 
Dans la foulée des fructueuses réformes du RPC adoptées il y a 10 ans, la caisse du RPC a été créée afin de capitaliser partiellement les prestations de retraite futures. D’après le rapport de 2007 de l’actuaire en chef du Canada, les cotisations au RPC devraient être supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 11 ans avant qu’une partie du revenu de placement soit requise pour aider à financer les prestations du RPC. Toujours selon ce rapport, les rentrées nettes de capitaux et le fait que les revenus de placement ne seront pas requis pour aider au versement des prestations de retraite avant 2020 font en sorte que la caisse du RPC devrait continuer de croître sans qu’il soit nécessaire d’y puiser des fonds d’ici là. Le rapport indique également qu’après 2020, la croissance de la caisse se poursuivra, mais à un rythme plus lent. D’après les projections du rapport de 2007 de l’actuaire en chef, le RPC, tel qu’il est constitué à l’heure actuelle, est viable pour les 75 prochaines années.

L’Office d’investissement du RPC
L’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office, dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du RPC, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Il a son siège social à Toronto et compte des bureaux à Londres et à Hong Kong. Au 31 décembre 2008, la caisse du RPC totalisait 108,9 milliards de dollars. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le www.oirpc.ca.

Joel Kranc

Directeur des communications

416 874-5163     

jkranc@cppib.ca

{:en}February 13, 2009 CPP Fund ends third quarter at $108.9 billion 

TORONTO, ON (February 13, 2009): The CPP Fund ended the third quarter of fiscal 2009 on December 31, 2008 with assets of $108.9 billion, compared to $117.4 billion at the end of the second quarter of fiscal 2009. The Fund’s decline for the quarter reflects an investment return of negative 6.7 per cent or negative $7.9 billion.

For the nine-month period ended December 31, 2008, the CPP Fund declined by $13.8 billion after operating expenses. The decline consisted primarily of an investment return of negative 13.7 per cent or negative $17.4 billion, offset by CPP contributions of $3.7 billion. 

The CPP Investment Board reflects its long investment horizon by regularly reporting rolling four-year performance. For the four-year period ended December 31, 2008, the CPP Fund has generated an annualized investment rate of return of 3.5 per cent which has resulted in $10.2 billion of investment income for the Fund over the four years. For the same period the total value of the Fund (including CPP contributions) has increased by $31.7 billion. Since inception the Fund has delivered $30.1 billion in investment income net of operating expenses, for a 5.1 per cent annualized investment rate of return since April 1, 1999.

“Sharp declines in global equity markets, especially in October and November, negatively impacted our results for the quarter,” said David Denison, President and CEO, CPP Investment Board. “However, looking beyond these short-term results, we continue to believe that our long investment horizon, steady cash inflows and broadly diversified portfolio will generate the longer-term results necessary to deliver on our multi-generational mandate. The funding structure of the CPP means that it is able to weather an extended market downturn and the assets we are managing today are not required to help pay pensions for another 11 years.”

“While current market conditions are creating near-term portfolio declines, they are also providing us with long-term investment opportunities,” said Mr. Denison. “Since we are not forced to sell assets in these market conditions to pay current benefits, we instead are well-positioned to acquire assets at attractive prices. As we assess potential new investments in this market, we are continuing to make decisions based upon our disciplined risk/return analytical framework.” 

Performance and Asset Mix
The Fund’s investment return of negative 6.7 per cent, or negative $7.9 billion, for the third quarter accounted for most of the Fund’s $8.5 billion decline over the period. The quarter also saw an outflow of $0.6 billion as part of the CPP Investment Board’s cash management role for the CPP. The CPP Fund routinely receives inflows of CPP contributions well in excess of benefits during the first part of the calendar year, and then returns a portion of those funds for benefit payments during the latter part of the calendar year.

The primary factor affecting performance in the quarter was the sharp decline in public equity markets. In Canada the S&P/TSX dropped 23.5 per cent, while globally the S&P 500 declined 22.5 per cent, the FTSE was down 9.6 per cent and the DAX and Nikkei dropped 17.5 per cent and 21.3 per cent respectively. “While we have adjusted our short-term tactics in light of cyclical changes in the markets, we believe our investment strategy and our weighting to key asset classes continue to be appropriate for a fund with as long a time horizon as the CPP Fund,” said Mr. Denison. “Over the long term this investment approach will deliver the returns required to help sustain the CPP.” 

Consistent with the CPP Fund’s long-term strategic portfolio design, at December 31, 2008, equities represented 57.5 per cent of the investment portfolio or $62.7 billion. This consisted of 42.2 per cent public equities valued at $46.0 billion, and 15.3 per cent private equities valued at $16.7 billion.  Fixed income, including bonds, money market securities, and other debt represented 27.8 per cent of the portfolio or $30.3 billion. Inflation-sensitive assets represented 14.7 per cent or $15.9 billion. Of those assets, 7.1 per cent consisted of real estate valued at $7.7 billion, 4.2 per cent was inflation-linked bonds valued at $4.6 billion, and 3.4 per cent was infrastructure valued at $3.6 billion. At December 31, 48.7 per cent of the fund or $53.1 billion was invested in Canada, while 51.3 per cent or $55.8 billion was invested globally. Long-term Sustainability 
Following the successful CPP reforms of 10 years ago, the CPP Fund was created to help partially pre-fund future pensions. According to the Chief Actuary of Canada’s 2007 report, CPP contributions are expected to exceed annual benefits paid through to the end of 2019, providing an 11-year period before a portion of the investment income is needed to help pay CPP benefits. The report indicates that because of these steady net inflows and because investment income is not required to help pay pensions until 2020, the CPP Fund is expected to grow without drawdowns between now and then. Beyond 2020, the report indicates that the Fund will continue to grow, but at a somewhat slower rate. The Chief Actuary’s 2007 report projects that the CPP, as constituted, is sustainable throughout the 75-year period of the report. 

 CPP Investment Board
The CPP Investment Board is a professional investment management organization that invests the funds not needed by the Canada Pension Plan to pay current benefits on behalf of 17 million Canadian contributors and beneficiaries. In order to build a diversified portfolio of CPP assets, the CPP Investment Board invests in public equities, private equities, real estate, inflation-linked bonds, infrastructure and fixed income instruments. Headquartered in Toronto, with offices in London and Hong Kong, the CPP Investment Board is governed and managed independently of the Canada Pension Plan and at arm's length from governments. At December 31, 2008, the CPP Fund totaled $108.9 billion. For more information, please visit www.cppib.ca. For further information contact:
 Joel Kranc
Manager, Communications 
 (416) 874-5163     
jkranc@cppib.ca   {:}{:fr}13 fevrier 2009 La caisse du RPC s’élevait à 108,9 milliards de dollars à la fin du troisième trimestre TORONTO, ONT. (le 13 février 2009) – L’actif de la caisse du RPC s’élevait à 108,9 milliards de dollars à la fin du troisième trimestre terminé le 31 décembre 2008, contre 117,4 milliards à la fin du deuxième trimestre de l’exercice 2009. Le repli de la valeur de la caisse au cours du trimestre reflète le taux de rendement des placements de  -6,7 pour cent, soit -7,9 milliards de dollars. Pour la période de neuf mois terminée le 31 décembre 2008, la valeur de la caisse du RPC a diminué de 13,8 milliards de dollars, déduction faite des charges d’exploitation. Cette baisse découle principalement du taux de rendement des placements de 13,7 pour cent, soit 17,4 milliards, mais elle est contrebalancée en partie par les 3,7 milliards de cotisations versées au RPC. En raison de son horizon de placement à long terme, l’Office présente souvent ses résultats sur une période mobile de quatre ans. Pour la période de quatre ans terminée le 31 décembre 2008, la caisse du RPC a obtenu un taux de rendement annualisé de 3,5 pour cent, soit un revenu de placement de 10,2 milliards de dollars. Au cours de cette même période, la valeur totale de la caisse, en tenant compte des cotisations au RPC, a augmenté de 31,7 milliards. Depuis sa création, les revenus de placement de la caisse, déduction faite des charges d’exploitation, s’élèvent à 30,1 milliards de dollars, soit un taux de rendement annualisé de 5,1 pour cent depuis le 1er avril 1999. « La chute marquée des marchés boursiers mondiaux, en particulier en octobre et en novembre, a eu une incidence négative sur nos résultats du trimestre, explique David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC. Cependant, en regardant au-delà de ces résultats à court terme, nous demeurons convaincus que l’horizon de placement à long terme de l’Office, ses rentrées de fonds régulières et son portefeuille hautement diversifié lui permettront d’obtenir les solides rendements requis à plus long terme pour s’acquitter de son mandat multigénérationnel. La structure de capitalisation du RPC lui permet de faire face à un ralentissement prolongé. De plus, l’actif que nous gérons aujourd’hui ne sera pas requis pour le versement des prestations de retraite avant 11 ans. « Bien que la conjoncture entraîne des baisses de la valeur du portefeuille à court terme, elle offre également des occasions de placement à long terme, ajoute M. Denison. Comme nous n’avons pas à vendre des éléments d’actif pour verser les prestations de retraite courantes, nous sommes en bonne position pour acquérir des placements à des prix attrayants. Lorsque nous évaluons de nouveaux placements dans le marché actuel, nous nous appuyons toujours sur notre cadre d’analyse méthodique du risque et du rendement. » Rendement et répartition de l’actif
Le repli de 8,5 milliards de dollars de la caisse au troisième trimestre est principalement dû au rendement des placements de  6,7 pour cent, soit  7,9 milliards de dollars. Le trimestre a aussi été marqué par une sortie de fonds de 0,6 milliard de dollars en lien avec le rôle de gestion des liquidités que joue l’Office auprès du RPC. Au cours du premier semestre de l’année civile, les cotisations perçues excèdent bien souvent le montant des prestations versées par le RPC. Une partie de cet argent sert par la suite au versement des prestations au second semestre de l’année. La forte baisse des marchés boursiers est le facteur ayant eu la plus grande incidence sur le rendement au cours du trimestre. Au Canada, l’indice S&P/TSX a chuté de 23,5 pour cent, tandis qu’à l’échelle mondiale, l’indice S&P 500 perdait 22,5 pour cent, l’indice FTSE, 9,6 pour cent, et les indices DAX et Nikkei, 17,5 pour cent et 21,3 pour cent respectivement. « À la lumière des changements cycliques sur les marchés, nous avons légèrement modifié nos tactiques à court terme, explique M. Denison. Cependant, nous croyons que notre stratégie de placement et la pondération des principales catégories d’actif demeurent appropriées pour une caisse caractérisée par un horizon de placement à long terme comme celle du RPC, ajoute M. Denison. Son approche en matière de placement lui permettra d’obtenir les rendements nécessaires pour assurer la viabilité du RPC à long terme. » Conformément à la stratégie de la caisse du RPC à long terme, au 31 décembre 2008, les actions constituaient 57,5 pour cent du portefeuille, soit 62,7 milliards de dollars. De ce montant, les actions de sociétés ouvertes représentaient 46,0 milliards de dollars, ou 42,2 pour cent, et les actions de sociétés fermées, 16,7 milliards de dollars, ou 15,3 pour cent. Les titres à revenu fixe, qui comprennent les obligations, les titres du marché monétaire et les autres titres de créance, comptaient pour 27,8 pour cent du portefeuille, soit 30,3 milliards de dollars. Les placements sensibles à l’inflation s’élevaient à 15,9 milliards de dollars, soit 14,7 pour cent, répartis comme suit : 7,1 pour cent, ou 7,7 milliards de dollars, en placements immobiliers; 4,2 pour cent, ou 4,6 milliards de dollars, en obligations indexées sur l’inflation; et 3,4 pour cent, ou 3,6 milliards de dollars, en infrastructures. Au 31 décembre, les placements de la caisse au Canada constituaient 48,7 pour cent du portefeuille, soit 53,1 milliards de dollars, tandis que les placements étrangers représentaient 51,3 pour cent, soit 55,8 milliards. Viabilité à long terme 
Dans la foulée des fructueuses réformes du RPC adoptées il y a 10 ans, la caisse du RPC a été créée afin de capitaliser partiellement les prestations de retraite futures. D’après le rapport de 2007 de l’actuaire en chef du Canada, les cotisations au RPC devraient être supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 11 ans avant qu’une partie du revenu de placement soit requise pour aider à financer les prestations du RPC. Toujours selon ce rapport, les rentrées nettes de capitaux et le fait que les revenus de placement ne seront pas requis pour aider au versement des prestations de retraite avant 2020 font en sorte que la caisse du RPC devrait continuer de croître sans qu’il soit nécessaire d’y puiser des fonds d’ici là. Le rapport indique également qu’après 2020, la croissance de la caisse se poursuivra, mais à un rythme plus lent. D’après les projections du rapport de 2007 de l’actuaire en chef, le RPC, tel qu’il est constitué à l’heure actuelle, est viable pour les 75 prochaines années. L’Office d’investissement du RPC
L’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office, dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du RPC, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Il a son siège social à Toronto et compte des bureaux à Londres et à Hong Kong. Au 31 décembre 2008, la caisse du RPC totalisait 108,9 milliards de dollars. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le www.oirpc.ca. Joel Kranc Directeur des communications 416 874-5163      jkranc@cppib.ca {:}

Contenu de l'article

Privacy Preferences
When you visit our website, it may store information through your browser from specific services, usually in form of cookies. Here you can change your privacy preferences. Please note that blocking some types of cookies may impact your experience on our website and the services we offer.