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14 août 2008

TORONTO, ONT. (le 14 août 2008) – La caisse du RPC s’élevait à 127,7 milliards de dollars à la fin du premier trimestre de l’exercice 2009 terminé le 30 juin 2008, contre 122,7 milliards de dollars à la fin de l’exercice 2008. L’accroissement de l’actif, de 5,0 milliards de dollars pour le trimestre déduction faite des charges d’exploitation, est principalement attribuable à un revenu de placements de 1,3 milliard, soit un taux de rendement de 1 pour cent pour le trimestre, et aux 3,8 milliards en cotisations au RPC ne servant pas au paiement des prestations courantes. 

« Dans l’ensemble, les marchés financiers ont eu une incidence positive sur le portefeuille de placements de l’Office au cours du trimestre, souligne David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC. La hausse des prix des marchandises et les sociétés du secteur de l’énergie ont permis aux actions canadiennes de progresser de 8,6 pour cent, ce qui compense largement le recul de 3,4 pour cent enregistré sur les autres marchés en raison des retombées continues de la crise du crédit. » 

En raison de son horizon de placement à long terme, l’Office présente souvent ses résultats sur une période de quatre ans. Pour la période de quatre ans terminée le 30 juin 2008, le rendement annualisé de l’Office s’établit à 9,3 pour cent, soit une plus-value de 33,7 milliards de dollars pour la caisse du RPC, un rendement bien supérieur au rendement réel de 4,2 pour cent nécessaire au maintien du taux de cotisation actuel du RPC. 

Au 30 juin 2008, les actions constituaient 62,0 pour cent de la valeur de la caisse, soit 79,2 milliards de dollars. De ce montant, les actions de sociétés ouvertes représentaient 65,1 milliards de dollars, ou 51,0 pour cent, et les actions de sociétés fermées, 14,1 milliards de dollars, ou 11,0 pour cent. Les titres à revenu fixe, qui comprennent les obligations, les titres du marché monétaire et les autres titres de créance, représentaient 25,8 pour cent du portefeuille, soit 32,9 milliards de dollars. Les placements sensibles à l’inflation s’élevaient à 15,6 milliards de dollars, soit 12,2 pour cent, répartis comme suit : 5,6 pour cent, ou 7,2 milliards de dollars, en placements immobiliers, 4,0 pour cent, ou 5,1 milliards de dollars, en obligations indexées sur l’inflation et 2,6 pour cent, ou 3,3 milliards de dollars, en infrastructures. 

Viabilité à long terme 
Les cotisations au RPC devraient être supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 12 ans avant qu’une partie du revenu de placement serve à financer les prestations du RPC. L’actuaire en chef du Canada estime qu’un taux de rendement réel de 4,2 pour cent est nécessaire au maintien à long terme du taux de cotisation actuel du RPC. D’après les projections du dernier rapport de l’actuaire en chef, le RPC, tel qu’il est constitué à l’heure actuelle, est viable pour les 75 prochaines années. Selon ces mêmes projections, la caisse du RPC s’élèvera à environ 310 milliards de dollars d’ici la fin de 2019, ce qui en fait l’un des réservoirs de capital d’investissement à but unique les plus importants au monde et qui contribue à la pérennité du RPC à long terme.

Office d’investissement du RPC 
L’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le RPC n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office, dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du RPC, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Il a son siège social à Toronto et compte des bureaux à Londres et à Hong Kong. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le www.oirpc.com. 


Joel Kranc 
Directeur des communications 
416 874-5163 
jkranc@cppib.ca

{:en} August 14, 2008 TORONTO, ON (August 14, 2008): The CPP Fund ended the first quarter of fiscal 2009 on June 30, 2008 at $127.7 billion compared to $122.7 billion at fiscal 2008 year end. The $5.0 billion increase in assets after operating expenses this quarter consisted primarily of $1.3 billion in investment income, reflecting a 1 per cent investment rate of return for the quarter, and $3.8 billion in CPP contributions not needed to pay current pension benefits. 

“Financial markets had a positive impact on the investment portfolio overall this quarter, as Canadian equity markets rose 8.6 per cent on the strength of higher commodity prices and energy stocks, which more than offset a decline of 3.4 per cent in other markets due to the ongoing effects of the credit crisis,” said David Denison, President and CEO, CPP Investment Board. 

The CPP Investment Board reflects its long investment horizon by regularly reporting rolling four-year performance. The four-year annualized investment rate of return through June 30, 2008 was 9.3 per cent, which has added $33.7 billion in investment income to the CPP Fund over that four-year period and is well above the 4.2 per cent real return required to sustain the Canada Pension Plan at its current contribution rate. 

At June 30, 2008, equities represented 62.0 per cent of the fund or $79.2 billion. That amount consisted of 51.0 per cent public equities valued at $65.1 billion and 11.0 per cent private equities valued at $14.1 billion. Fixed income, including bonds, money market securities, and other debt represented 25.8 per cent of the portfolio or $32.9 billion. Inflation-sensitive assets represented 12.2 per cent or $15.6 billion. Of those assets, 5.6 per cent consisted of real estate valued at $7.2 billion, 4.0 per cent was inflation-linked bonds valued at $5.1 billion, and 2.6 per cent was infrastructure valued at $3.3 billion. 

Long-term Sustainability 
CPP contributions are expected to exceed annual benefits paid through to the end of 2019, providing a 12-year period before a portion of the investment income is needed to help pay CPP benefits. The Chief Actuary of Canada estimates that a 4.2 per cent real rate of return, over a long-term period, is required to sustain the plan at the current contribution rate. The Chief Actuary has projected that the CPP, as constituted, is sustainable throughout the 75-year period of his report. According to his estimates, the CPP Fund will grow to approximately $310 billion by the end of 2019, making it one of the largest single purpose pools of investment capital in the world, thereby helping to secure the CPP for the long term. CPP Investment Board 
The CPP Investment Board is a professional investment management organization that invests the funds not needed by the Canada Pension Plan to pay current benefits on behalf of 17 million Canadian contributors and beneficiaries. In order to build a diversified portfolio of CPP assets, the CPP Investment Board invests in public equities, private equities, real estate, inflation-linked bonds, infrastructure and fixed income instruments. Headquartered in Toronto, with offices in London and Hong Kong, the CPP Investment Board is governed and managed independently of the Canada Pension Plan and at arm's length from governments. For more information, please visit www.cppib.ca. 


For further information contact:
Joel Kranc 
Manager, Communications 
(416) 874-5163 
jkranc@cppib.ca     {:}{:fr}14 août 2008 TORONTO, ONT. (le 14 août 2008) – La caisse du RPC s’élevait à 127,7 milliards de dollars à la fin du premier trimestre de l’exercice 2009 terminé le 30 juin 2008, contre 122,7 milliards de dollars à la fin de l’exercice 2008. L’accroissement de l’actif, de 5,0 milliards de dollars pour le trimestre déduction faite des charges d’exploitation, est principalement attribuable à un revenu de placements de 1,3 milliard, soit un taux de rendement de 1 pour cent pour le trimestre, et aux 3,8 milliards en cotisations au RPC ne servant pas au paiement des prestations courantes. 

« Dans l’ensemble, les marchés financiers ont eu une incidence positive sur le portefeuille de placements de l’Office au cours du trimestre, souligne David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC. La hausse des prix des marchandises et les sociétés du secteur de l’énergie ont permis aux actions canadiennes de progresser de 8,6 pour cent, ce qui compense largement le recul de 3,4 pour cent enregistré sur les autres marchés en raison des retombées continues de la crise du crédit. » 

En raison de son horizon de placement à long terme, l’Office présente souvent ses résultats sur une période de quatre ans. Pour la période de quatre ans terminée le 30 juin 2008, le rendement annualisé de l’Office s’établit à 9,3 pour cent, soit une plus-value de 33,7 milliards de dollars pour la caisse du RPC, un rendement bien supérieur au rendement réel de 4,2 pour cent nécessaire au maintien du taux de cotisation actuel du RPC. 

Au 30 juin 2008, les actions constituaient 62,0 pour cent de la valeur de la caisse, soit 79,2 milliards de dollars. De ce montant, les actions de sociétés ouvertes représentaient 65,1 milliards de dollars, ou 51,0 pour cent, et les actions de sociétés fermées, 14,1 milliards de dollars, ou 11,0 pour cent. Les titres à revenu fixe, qui comprennent les obligations, les titres du marché monétaire et les autres titres de créance, représentaient 25,8 pour cent du portefeuille, soit 32,9 milliards de dollars. Les placements sensibles à l’inflation s’élevaient à 15,6 milliards de dollars, soit 12,2 pour cent, répartis comme suit : 5,6 pour cent, ou 7,2 milliards de dollars, en placements immobiliers, 4,0 pour cent, ou 5,1 milliards de dollars, en obligations indexées sur l’inflation et 2,6 pour cent, ou 3,3 milliards de dollars, en infrastructures. 

Viabilité à long terme 
Les cotisations au RPC devraient être supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 12 ans avant qu’une partie du revenu de placement serve à financer les prestations du RPC. L’actuaire en chef du Canada estime qu’un taux de rendement réel de 4,2 pour cent est nécessaire au maintien à long terme du taux de cotisation actuel du RPC. D’après les projections du dernier rapport de l’actuaire en chef, le RPC, tel qu’il est constitué à l’heure actuelle, est viable pour les 75 prochaines années. Selon ces mêmes projections, la caisse du RPC s’élèvera à environ 310 milliards de dollars d’ici la fin de 2019, ce qui en fait l’un des réservoirs de capital d’investissement à but unique les plus importants au monde et qui contribue à la pérennité du RPC à long terme. Office d’investissement du RPC 
L’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le RPC n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office, dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du RPC, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Il a son siège social à Toronto et compte des bureaux à Londres et à Hong Kong. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le www.oirpc.com. 


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